Yavandir
Prénom : Yavandir
Nom : Mècheblanche
Race : elfe sylvain
Carrière: hors-la-loi
Age : 100 ans
Taille : 1,87m
poids : 68 kg
sexe: masculin
Description physique
: j'ai un visage avec des traits fin. J'ai les yeux d'un bleu saphir et
de long cheveux d'un blond cendré éclatant qui me tombent jusqu'au bas
du dos avec une mèche qui me passe devant les yeux. Je suis mince est
musclé. Quand à ma couleur de peau, elle est légèrement bronzée, ce qui
lui donne un peu l'air dorée.
Caractère : je
suis fier, j'aime plaisanté avec mon entourage et me moquer gentiment
des gens mais il arrive parfois que les autres s'énerve un peu. Mais
malgré ça, je suis très sérieux au combat et je suis prêt à tout pour
secourir mes amis. Par contre, je déteste quand quelqu'un me regarde de
travers, j'utilise souvent un sort qui agit sur mes yeux et qui fait
peur au voyeur.
Histoire : Je suis né dans un
des village caché de Laurelorn ou la vie est tendre et paisible, mes
parents ont découvert mon potentiel à l'art du tir à l'arc quand
j'avais 15 ans alors que je m'amusais avec deux de mes amis à tirer sur
les poule de ma voisine avec des bouts de bois ou quand Gildiril
courais avec une pomme possé sur la tête et que je tirais dedans sans
presque jamais rater ma cible, je ne tirais pas encore de très loin, 7
à 8 m pour la pomme, mais il fallait déjà le faire car ce n'était pas
chose facile. Un peu plus tard, mon père décida donc de me former au
combat à lépée puis au tir à l'arc, à l'age de 40 ans, j'ateignais des
cibles stables de 20 mètre assez facilement. J'étais devenu adulte
quand le chef du village lança une chasse au gros gibier. Nous somme
tous partis en courant épées à la ceinture et arc à la main au
retentissement de la cornemuse. Il était midi, et nous avions déjà fait
trois belle prises dont une dont j'étais l'auteur puis nous décidâmes
de nous arreter pour manger, je fus chargé d'aller tué un lapin que
l'on mangerais par la suite pendant que mon père faisait le feu et ma
mère placais le bois. Quand je revins leur corps était couvert de sang
mais semble qu'il ait eu tout de meme le temps d'abattre les quelques
orques qui leurs avaient tendu une embuscade. La colère monta en moi
quand je commencai à entendre des bruits provenant de plusieurs
centaines de mètre. je couru aussi vite que je pus jusqu'au village
mais c'était trop tard, il était en feu et les cris des femme se
multipliaient de part et d'autre. Je me joignis plus tard à une bande
de hors-la-loi qui étaient désormais la seul famille qu'il me restais
dans le seul but de venger les miens.